Quel est l’effet que je souhaite produire ?
🎁 Quand j’offre un cadeau, j’ai envie de produire un effet de surprise.
😅 Quand je raconte une anecdote, j’ai envie de faire rire.
🤗 Quand je livre une confidence, j’ai envie d’écoute et de partage.
Alors quand je travaille, quel effet ai-je envie de produire ?
🕊 En tant que formatrice, j’ai envie de rassurer et donner des ailes.
👀 En tant que journaliste, j’ai envie d’apprendre puis de témoigner.
🤩 En tant que créatrice de contenus, j’ai envie de créer des émotions.
💡 En tant qu’intervenante en collège, j’ai envie d’éclairer les lanternes.
Et toujours, j’ai envie de jouer, de rire, de m’amuser…
🙌 Mais l’envie la plus profonde qui m’anime dans tout ça, c’est de produire un effet de connivence, de complicité, presque de communion autour d’une certaine façon de voir le monde. Et ce avec tout le réseau qui constitue mon univers pro : mes clients, mes partenaires, mes ex-collègues, mes abonnés, et même mes voisin.e.s de coworking.
Ce que je partage avec tout ce petit monde, c’est finalement assez simple :
💙 J’aime que le web permette à des talents sans réseau officiel de se faire une place dans la société.
💚 J’aime que le web permette à des artistes inconnus de montrer la puissance de leur art.
🧡 J’aime que le web permette de se former, monter en compétences, grâce à la générosité d’internautes qui partagent leur savoir.
❤️ Bref : j’aime que le web, terrain de jeu et de créativité incroyable, produise de l’égalité des chances.
Mais dans le web, il y a aussi des choses que je déteste.
🐑 Je déteste me sentir esclave des algorithmes. Des tendances. De l’imitation. De l’effet mouton de Panurge.
🤬Je déteste observer, via la modération des commentaires, la montée des extrêmes.
😰Je déteste le cyber harcèlement dont me parlent les plus jeunes.
🤕 Je déteste que le web produise addictions et pathologies, toutes générations confondues.
Alors quel est l’effet que moi, Mélanie, je souhaite produire, pour me sentir libre dans mon travail ?
Je souhaite accompagner celles et ceux qui veulent à la fois se donner la chance de performer et vivre de leur activité, leur entreprise, leur art, tout en acceptant que ça aille plus doucement. De façon plus sobre. Plus humble. Et au final, plus authentique.
Chacun.e aura sa place. Sa chance. Son espace.
Venez, on va appeler ça la sobriété numérique heureuse. Et on va la construire tou.te.s ensemble.
Enfin si vous vous sentez en connivence avec moi bien sûr.